Et pourquoi pas quelques solutions ?...

Publié le par Michel

Et pourquoi pas quelques solutions ?...

 

E bien être de la planète Terre comme objectif primordial, au dépens du luxe et du raffinement de leur prétendue civilisation, au dépens du bien être des Hommes c'est-à-dire le refuge dans les biens matériels.

Sur la démocratie, ce moins pire des régimes, si des gouvernement doivent être élus, il doivent aussi rendre des compte au peuple qui les a élu, un vote de confiance doit être fait régulièrement entre les échéances électorale classiques, ce vote ne doit pas porter sur le gouvernement directement, mais doit postérieur les différents domaines de la politique d’un pays : politique de sécurité intérieure, économique, politique extérieure et bien entendue sur le projet de société que sont censé porter les parti politiques. D’autre part des projets locaux doivent être mener par les habitants et non par des technocrates. Il n’y a que sur le plan local que l’autogestion et la démocratie ne peuvent être mises en pratique, et non à grande échelle. La nation n’existe pas, mais sa construction politique est un fait. Une politique nationale n’a donc pas de sens, mais la nation existant dans les faits en terme de pays, notion qui ne sera détruite uniquement par une insurrection mondiale (…), il est nécessaire de la prendre en compte.

Le rôle majeur de l’état est de notre point de vue le contrôle de l’économie les choix de vie devant rester strictement individuel.

Sur les sujets polémiques, comme par exemple les OGM, le droit du travail et autres des commissions citoyenne doivent être mises en place, ne regroupant pas des " experts indépendants ", mais des citoyens ayant volonté de s’informer sur un sujet et ensuite de donner son avis. Or, pour cela il faut du temps, c’est en cela qu’il faut réduire le temps de travail, pour laisser la temps au citoyens de s’informer, non pour partager le travail. D’autant plus que dans l’état de surproduction, il n’est nécessaire de produire d’avantage.

D’un point de vue de la politique économique, la chasse à la croissance ne doit plus être un but en soi, toujours du fait de la surproduction, je renvoie à toutes les initiatives et aux arguments liés au concept de décroissance.

Pour une politique de la science humaine et pas du scientisme : la médecine pour soigner des malades et non pour maintenir en vie des être humains à l’état de légumes, la première source e profit pour les instituts médicalisés privés ; la recherche fondamentale au service de ce type de médecine et non pour un programme de défense militaire ; la mort pour le scientisme social.

Je m’efforcerais de développer cette idée un peu plus que les autres. Premièrement il s’agit de ne plus considérer une société comme un être vivant, cesser d’avoir une vision organique des interrelations entre individus du fait que les individus ont une volonté propre, donc des comportements imprévisibles (et non irrationnels), la sociologie n’est pas et doit jamais être un outil de politique sociale, car dans ce cas cette science à part entière ne servirait qu’à reproduire des schémas existants et démontrés, pour mieux les justifiés " scientifiquement ", c’est-à-dire expliquer que les conséquences d’une morale économique et d’une politique sociale en sont les causes et donc s’entêter dans l’erreur, pour mieux produire les outils de leurs propres destructions. Contre l’utilisation de la sociologie, de la psychologie des individus et des foules à des buts marketing, électoraux, mais comme compréhension du monde actuel, un compréhension non généralisante car, comme déjà dit, les comportement individuels, dont dépendent ceux des masses sont imprévisibles. Un mot sur l’histoire en tant que science, elle ne doit pas faire l’objet de lois mais de débats permanents à propos des faits connus et de recherches tout aussi permanente sur les faits moins bien connus (par exemple la guerre d’Algérie ou la collaboration durant la seconde guerre mondiale, en particulier des industriels), le reste et le gros du travail étant la compréhension de l’agencement entre les faits.

Revenons sur l’économie, dans son acceptation première : la gestion de la maison, nécessaire à toute forme de vie en société. Les échanges sont de toutes sortes et ne peuvent tous être monétarisés.

Les connaissances acquises depuis des siècles dans tous les domaines doivent devenir patrimoine humain, leur diffusion est nécessaire au développement personnel de tout être humain, doit être gratuite mais cette dernière ayant un coût (livres…) elle doit être entièrement pris en charge par la société, le financement est discuté plus loin.

Les progrès médicaux, dans son acceptation la plus large, ne doit procurer aucun possibilité de profit autre que celui de guérir ou de soulagé la douleur, dans les termes déjà énoncés.

Sur l’organisation du travail.

Un principe fondamental doit être appliqué, celui qui ne produit rien, en tant qu’individu, ne peut prétendre à aucune forme de rémunération. Sont donc visés : les actionnaires spéculateurs, les rentiers, l’ensemble du système bancaire.

Devenir son propre patron ? non. Devenir auto suffisant, comme condition sine qua non à la liberté de chacun. Ce qui signifie une certaine autarcie, une production destinée à une consommation privée et non à l’échange commercial, notamment concernant la nourriture et le vêtement, unique manière de résister aux groupes de l’industrie agro-alimentaire, et donc abolir le chantage à la famine, les problèmes de surproduction.

Le démantèlement de toutes les grandes agglomérations est le pendant obligatoire du paragraphe précédant, nous ne pouvons produire chacun notre propre subsistance dans un environnement urbain. Le phénomène de ville suppose que les campagnes nourrissent les villes, ce phénomène se produit actuellement à un niveau planétaire.

La question de l’énergie, commençons par limiter les consommations inutiles : comme les immeuble de bureaux éclairés 24/24, 365 jours par an pour des raisons de sécurité, les placards publicitaires électrifiés, les monuments illuminés, la climatisation et le chauffage inutile comme des habitations chauffées collectivement à plus de 25°C. Des chocs thermiques trop forts entre intérieur et extérieur sont propices aux maladies…

Le financement de toute action étatique doit se faire sur le capital et non plus sur le travail. Plus précisément sur la spéculation : l’achat et la revente à court terme et profitable d’une partie d’un moyen de production.

 

 

 

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